juin 2024

Rencontre Diomaye Faye-Macron

Le président français Emmanuel Macron reçoit son homologue sénégalais Bassirou Diomaye Faye à l’Élysée le 20 juin 2024. © Johanna Geron, Reuters Invité en France dans le cadre du Forum mondial pour la souveraineté et l’innovation vaccinales, le président du Sénégal Bassirou Diomaye Faye s’est entretenu le 20 juin avec Emmanuel Macron à l’Élysée. Les accords commerciaux liant les deux pays, le franc CFA ou bien encore la présence militaire française font partie des sujets prioritaires pour les nouvelles autorités à Dakar.

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ACTUALITES

Tchad : Incendie meurtrier dans la capitale suite à l’explosion d’un dépôt de munition

Tchad : Incendie meurtrier dans la capitale suite à l’explosion d’un dépôt de munition Deux heures durant on pouvait entendre les détonations provoquées par les explosions en chaine dans le dépôt de munitions de Goudji, quartier de la capitale Tchadienne. Un gigantesque incendie s’est déclaré. Le nombre de victimes est très élevé. On parle d’au moins 9 morts mais le bilan pourrait s’alourdir. Également dans l’actualité,  En Éthiopie, les femmes violées dans la région du Tigré sont en détresse. Victimes de mutilations génitales, de viols collectifs, elles sont rejetées par leurs familles et livrées à elles-mêmes. Un grand nombre d’entres-elles ont contracté le VIH. Aujourd’hui, elles manquent cruellement de soins et la prise en charge psychologique est quasi inexistante. Enfin, au Rwanda, l’opposante Diane Rwigara ne pourra pas se présenter à l’élection présidentielle du 15 juillet prochain. La commission électorale a rejeté son dossier, incomplet selon elle. Sa candidature avait déjà été rejeté une première fois lors du dernier scrutin en 2017. L’opposante avait ensuite été emprisonnée par les autorités pour contrefaçon et atteinte à la sûreté de l’état, avant d’être finalement acquittée en 2018. Elle affirme aujourd’hui que les autorités la prive de son droit de faire campagne. SOURCE : https://www.france24.com/fr/%C3%A9missions/journal-de-l-afrique/20240619-tchad-incendie-meurtrier-dans-la-capitale-suite-%C3%A0-l-explosion-d-un-d%C3%A9p%C3%B4t-de-munition

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ACTUALITES

ALERTE INFO !

Depuis le 06 juin dernier un communiqué officiel de la douane annonçant la vente aux enchères d’un nombre de véhicules circule sur les réseaux sociaux. Selon un communiqué authentique de la direction des douanes en date du 18 juin cette information qui a été partagée sur les réseaux par un groupe d’individus est fausse et il est fait dans le but d’arnaquer les citoyens et demande à tout un chacun de se méfier des informations qui circulent sur les réseaux sociaux.Pour en savoir lisez le communiqué de la direction de la douane. Nous tenons à rappeler que notre institution n’est pas impliquée dans la vente de véhicules de quelque nature que ce soit. Les informations circulant à ce sujet sont infondées et trompeuses. Nous vous encourageons à ne pas prêter attention à ces fausses annonces et à vérifier toute information suspecte avant de prendre toute action.

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ACTUALITES, INTOX

À Gaza ou au Soudan, l’ONU dénonce des “niveaux extrêmes” de violences contre les enfants

Dans son rapport annuel, le secrétaire général de l’ONU déplore une augmentation de 21 % des violations graves des droits des enfants lors des conflits armés en 2023. Il pointe en particulier les conflits à Gaza et au Soudan, dont l’armée et les paramilitaires ont été inscrits sur la “liste de la honte”.

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ACTUALITES

FACT-CHECKING : selon une étude, TikTok n’a pas réussi le “test de désinformation” avant le vote sur l’UE

Une étude montre que TikTok n’a pas réussi le “test de désinformation” avant le vote sur l’UE Le très populaire réseau social TikTok a approuvé des publicités contenant de la désinformation politique avant les élections européennes, selon un rapport publié mardi, faisant fi de ses propres directives et soulevant des questions sur sa capacité à détecter les fausses informations sur les élections. Le groupe de campagne international Global Witness a créé 16 publicités ciblant le public irlandais avec de fausses informations sur les élections européennes de cette semaine et a tenté de les faire approuver par trois plateformes : TikTok, YouTube, propriété de Google, et X (anciennement Twitter), propriété d’Elon Musk. TikTok, qui est particulièrement populaire auprès des jeunes électeurs, a approuvé la publication des 16 publicités, YouTube en a retenu 14 et X a filtré toutes les publicités et suspendu les faux comptes du groupe, indique Global Witness dans son rapport. “TikTok a échoué lamentablement dans ce test”, a déclaré à l’AFP Henry Peck, chargé de campagne à Global Witness. Les fausses publicités, soumises par le groupe le mois dernier, contenaient toutes un contenu susceptible de mettre en péril les processus électoraux, notamment des avertissements invitant les électeurs à rester chez eux en raison d’un risque de violence dans les bureaux de vote et d’une recrudescence des maladies contagieuses. Ils contenaient également un faux avis portant l’âge légal du vote à 21 ans et des appels à voter par courriel, ce qui n’est pas autorisé pour les élections européennes. Dans la réponse de TikTok à l’étude, que Global Witness a communiquée à l’AFP, la plateforme a reconnu que les publicités violaient ses politiques. Citant une enquête interne, l’application chinoise appartenant à ByteDance a déclaré que ses systèmes avaient correctement identifié la violation, mais que les publicités avaient été approuvées en raison d’une “erreur humaine” d’un modérateur. “Nous avons immédiatement mis en place de nouveaux processus pour éviter que cela ne se reproduise à l’avenir”, a déclaré à l’AFP un porte-parole de TikTok. Aucune friction La non-détection des publicités intervient alors que les militants de la technologie implorent les plateformes de répondre aux préoccupations croissantes concernant le déluge de désinformation qui affecte les élections dans le monde entier. M. Peck a insisté sur le fait qu’il était “absolument vital” que les sites de médias sociaux agissent contre les menaces qui pèsent sur la démocratie au cours d’une année riche en élections majeures dont le point culminant sera le vote présidentiel américain en novembre. “J’ai été surpris parce que TikTok a par le passé détecté des contenus qui allaient à l’encontre de ses règles et, dans ce cas, n’a rien détecté”, a déclaré M. Peck. “Il semble qu’il dispose des systèmes et des capacités nécessaires, et pourtant il n’y a eu aucune friction. Global Witness a déclaré avoir déposé une plainte officielle auprès des autorités de régulation irlandaises, estimant que la plateforme pourrait enfreindre les règles européennes visant à atténuer les menaces électorales. Au début de l’année, l’UE a publié des lignes directrices dans le cadre de son énorme loi sur les services numériques (DSA), exigeant que les principales plateformes, dont TikTok, prennent des mesures pour réduire le risque d’interférence dans les scrutins. Le mois dernier, TikTok a publié une déclaration détaillant les mesures “exhaustives” qu’elle prenait, affirmant qu’elle était “profondément investie” dans la protection de l’intégrité des élections. Endormi par l’interrupteur Global Witness a déclaré avoir supprimé les fausses annonces après avoir reçu la notification de TikTok indiquant qu’elles avaient été acceptées pour publication, afin d’éviter toute traction. Il a également soumis une annonce qui ne contenait pas de désinformation mais qui violait l’interdiction de TikTok concernant les annonces politiques. Le groupe a payé 10 livres sterling (13 dollars) pour cette annonce et a constaté qu’elle avait reçu 12 000 impressions avant que le crédit ne soit épuisé. L’AFP, comme plus d’une douzaine d’autres organisations de vérification des faits, est payée par TikTok dans plusieurs pays pour vérifier les vidéos susceptibles de contenir de fausses informations. TikTok est devenu un champ de bataille électoral majeur, les politiciens européens et américains – y compris le candidat à la présidence Donald Trump – cherchant à exploiter la viralité de la plateforme. Cette tendance est apparue alors même que TikTok est sous pression aux États-Unis, où le président Joe Biden a récemment signé un projet de loi qui interdirait la plateforme si son propriétaire ne trouvait pas d’acheteur pour l’application dans un délai d’un an. “Et pourtant, l’Europe semble dormir sur ses deux oreilles, comme si elle n’était pas à l’écoute de cette désinformation électorale flagrante”, a déclaré M. Peck.

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VRAI OU FAUX. Y aura-t-il bientôt une “loi Mbappé” pour une réduction fiscale à Madrid ?

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FACT-CHECKING : pourquoi la France accuse l’Azerbaïdjan d’ingérence étrangère en Nouvelle-Calédonie ?

De prime abord, rien ne relie Bakou à Nouméa. Pourtant, depuis plusieurs jours, la France accuse l’Azerbaïdjan d’ingérence étrangère dans la crise qui secoue son territoire d’Outre-mer ? Pourquoi la Paris lance-t-elle de telles accusations ? Quels sont les liens entre le Haut-Karabakh et cette île du Pacifique Sud. On vous explique. C’est le Ministre français de l’Intérieur et des Outre-mers, Gérald Darmanin, qui a lancé les accusations jeudi sur le plateau de France 2. ” Ce n’est pas un fantasme, c’est une réalité. Je regrette qu’une partie de leaders calédoniens aient fait un deal avec l’Azerbaïdjan. C’est incontestable […] Mais je veux dire que même s’il y a des tentatives d’ingérence, aucun n’accède à la violence en Nouvelle-Calédonie. La France est souveraine chez elle et c’est tant mieux. ” Le lendemain, les autorités françaises ont précisé leur propos. Paris a évoqué une ” propagation massive et coordonnée de contenus inexacts ou trompeurs relayés par des comptes liés à Bakou accusant la police française de tirer sur des manifestants indépendantistes “. Dans une note détaillée, Viginum, l’organisme français de lutte contre les ingérences numériques étrangères, a mis en évidence ces manœuvres et montré qu’une grande partie des utilisateurs ayant relayé ces contenus sont liés au Yeni Azerbaycan Partiyasi, le parti du président Ilham Aliyev. La réplique de l’Azerbaïdjan ne s’est pas fait attendre. Bakou dénonce des propos insultants. ” Nous rejetons totalement les accusations infondées du ministre français de l’Intérieur Gérald Darmanin “, a déclaré la diplomatie azerbaïdjanaise dans un communiqué. Pourtant, une série d’éléments semblent accréditer la thèse d’une influence grandissante de Bakou auprès des indépendantistes en Nouvelle-Calédonie. Drapeaux azerbaïdjanais Les images des manifestations indépendantistes Kanak ont fait le tour du monde cette semaine. Et aux côtés du drapeau kanaky bleu-rouge-vert, celui de l’Azerbaïdjan avec le croissant n’est pas passé inaperçu. Parmi ces manifestants, plusieurs arboraient aussi des t-shirts avec le logo du Groupe d’initiative de Bakou (GIB) et des slogans ” Non au dégel du corps électoral ” et ” Non à la colonie de peuplement “. En réalité, l’Azerbaïdjan prend fait et cause depuis plusieurs mois pour les indépendantistes néo-calédoniens. En juillet 2023, ils ont été invités pour une conférence à Bakou où a été créé le groupe d’initiative de Bakou (GIB). Se présentant comme une ONG, ce groupe réunit des mouvements anticolonialistes des Outre-mers. Il multiplie les messages sur les réseaux sociaux accusant la France de ” colonialisme “. Cette semaine par exemple, le GIB a diffusé un communiqué exigeant que ” le gouvernement français tienne compte des revendications du peuple #Kanak “. Il y a un mois, le 18 avril 2024, une élue du parlement local, Omayra Naisseline, s’est même rendue à Bakou où elle n’a pas hésité à remercier l’État azerbaïdjanais d’être aux côtés des Kanaks ” dans leur chemin vers l’indépendance “. À cette occasion, elle a signé un mémorandum établissant des relations bilatérales entre sa collectivité et le parlement azerbaïdjanais. Une première dénoncée par les Loyalistes de Nouvelle-Calédonie qui ont alors saisi le Procureur de la République de Nouméa. Billard à « trois bandes » Quels liens unissent donc Bakou et Nouméa alors que près de 14.000 kilomètres séparent les deux territoires ? La réponse est à aller chercher du côté du Haut-Karabakh. Dans le Caucase, l’Azerbaïdjan est en conflit depuis des années avec l’Arménie. Les deux pays se disputent une région, le Haut-Karabakh. Dans ce conflit, la France soutient l’Arménie et les indépendantistes du Haut-Karabakh. Je remercie l’État azerbaïdjanais d’être à nos côtés dans notre chemin vers l’indépendance… C’est donc cela qui irrite Bakou au plus haut point et pousse aujourd’hui ce pays à se positionner dans une sorte de ” billard à trois bandes ” aux côtés des indépendantistes Kanak. De cette façon, l’Azerbaïdjan entend mettre indirectement la pression sur Paris. Bastien Vandendyck, analyste des relations internationales et spécialiste de la géopolitique du Pacifique interrogé par nos confrères de Radiofrance évoque une ” stratégie de représailles ” à l’encontre de la France. ” L’Azerbaïdjan ne s’intéresse pas vraiment à la cause indépendantiste. Mais ce pays soutient le FLNKS [Front de libération nationale kanak et socialiste] pour renforcer les dissensions sociopolitiques en Nouvelle-Calédonie “. Convoitises chinoises Face à la violence et aux émeutes, la France a instauré un couvre-feu et, par la même occasion, a interdit TikTok en Nouvelle-Calédonie. Selon Paris, le réseau social chinois est largement utilisé par les émeutiers pour communiquer entre eux mais aussi pour relayer de fausses informations. Les autorités françaises pointent aussi le risque de désinformation de pays étrangers qui chercheraient à attiser les tensions évoquant l’Azerbaïdjan, la Russie mais aussi la Chine. Pilier de l’économie néo-calédonienne, le secteur de l’extraction du nickel est actuellement au cœur de la crise qui secoue le territoire. Il faut dire que le précieux métal a façonné l’histoire de l’île : un quart de ses habitants vivent encore grâce aux ressources engendrées par ce minerai. Mais cette industrie autrefois florissante est aujourd’hui menacée et les revenus qu’elle engendre sont en berne. En cause, la surabondance de l’offre malgré une hausse de la demande de nickel au niveau mondial, notamment pour la fabrication de batteries des voitures électriques. Dans ce contexte, Pékin, premier producteur de nickel au monde et leader en matière de batteries, serait en train de se frotter les mains en voyant la situation en Nouvelle-Calédonie. Son sous-sol représenterait la deuxième réserve mondiale de nickel au monde, de quoi susciter l’appétit de la Chine qui espère un jour pouvoir exploiter le minerai à la place des Français.

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Un soldat israélien se prend en photo devant une bibliothèque en feu à Gaza

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Attention à ces intox autour de la cérémonie des 80 ans du débarquement en Normandie

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